Barbara Furtuna, groupe en 2018
Barbara Furtuna : Adasgiu
Barbara Furtuna : In Santa Pace
Pluhar : ViaCrucis
Barbara Furtuna : Si vita Si
Barbara Furtuna D' Anima

Maxime Merlandi (seconda), Jean-Philippe Guissani (bassu, contracantu), Jean-Pierre Marchetti (terza) et André Dominicci (bassu) se sont rassemblés au sein de ce groupe qui adopte pour nom celui d’un chant traditionnel ayant pour thème le départ forcé, l’exil, thème au combien cher au peuple corse car il traduit l’attachement des Corses à leur terre.
Après 15 ans d’existence, en 2018, Jean Pierre Marchetti quitte le groupe pour raisons personnelles. Fabrice Andreani qui accompagnait déjà le groupe depuis plusieurs années en devient membre à part entière tout en conservant son activité au sein du goupe I Messageri.

Les chanteurs de Barbara Furtuna occuppaient déjà la scène insulaire depuis plus de vingt ans dans des groupes aussi divers qu’Isula, Giramondu, A Filetta et Rassegna.

Nés dans le berceau du chant  traditionnel, ils s’en distinguent pourtant dans la configuration même de leur groupe qui se base sur un quatuor et non, comme le veut la tradtion, sur deux ou trois voix.

Le groupe a choisi la voie de la tradition en reprenant des chants traditionnels sacrés, chants toujours interprétés lors des messes de mariage, des défunts ou de la Semaine Sainte. En plus du répertoire liturgique, Barbara Furtuna propose des mélodies profanes, sur des thèmes comme l’amour, l’exil, les ancêtres ainsi que des adaptations de textes français comme « Le temps des cerises » ou de textes étrangers (sarde, toscan, géorgien).

La communion parfaite, l’esthétique des mélodies, la profondeur de chant qui se répand du répertoire sacré comme du registre profane font de l’art polyphonique de Barbara Furtuna l’un des plus accompli dans l’île.

Barbara Furtuna

Leur premier album « Adasgui » (2004) a été accueilli unanimement par la critique.

En août 2006, j’ai eu la chance d’assister à l’un de leur dernier concert à Santa Maria Poghju. Arrivés tôt au village, l’endroit nous semble légèrement hostile. A se demander si il y aura du monde. Comme à tous les concerts du groupe, le miracle se produit. L’église est archi pleine. Il faut rajouter des chaises dans l’allée : 117 entrée pour à peine 60 places assises. Au premier rang, je suis au chœur même du groupe. L’émotion est palpable et mettre les voix sur les morceaux de leur album « Adasgui » tant de fois écouté sur chaîne hi-fi est jubilatoire. Maxime est toujours aussi charismatique. Jean-Philippe a beaucoup gagné en assurance et semble prendre beaucoup de plaisir à présenter et expliquer le travail du groupe, André est un peu le joyeux luron du groupe, quant à Jean-Pierre, j’en suis encore à me demander comment une telle voix peut sortir de ce petit bonhomme à l’immense talent. A la fin du spectacle, je rencontre une artiste hollandaise qui est persuadée que son travail de peintre est directement lié à l’inspiration du groupe. Une communion qui dépasse la barrière des langues et rassemble les arts. Nous espérons tous la sortie prochaine d’un nouveau disque pour retrouver les petites merveilles entendues à ce concert.

Jean-Marc Raffaelli pour Corse-Matin (juillet 2004) :

Lors des concerts, on avait été émus par Fiure, une des plus belles créations mélodiques du groupe, qui à elle seule, mettait en scène tous ces anonymes disparus qui n’ont de survivance que dans nos mémoires et nos cœurs. Sur le disque, on a repris à notre compte une autre composition, Un ti ne fà, ce dialogue père-fils dans lequel au fil du temps on a joué ou jouera les deux rôles dans l’histoire de la vie..


Elisabeth Milleliri pour Corsica (juillet 2004) :

L’esprit de chaque chant a été ainsi rendu, sans le moindre apport d’artifices ou de technologie, par prises directes, avec l’acoustique naturelle des lieux. Douze titres et quarante minutes d’heureuse fortune, en heureuse compagnie… » Elle parle ici des enregistrements à l’église San Martinu de Patrimonio, à la chapelle de l’Immaculée-Conception de Valle di Rustinu et en extérieur, à Caspitti, pour Furtunatu (chant d’amour) avec pour tout accompagnement le vent le chant des oiseaux.

Le samedi 22 décembre 2007, Barbara Furtuna s’est produit au théâtre des abbesses à Paris dans le 18ème.

Vendredi 21 mars 2008 : décembre au théâtre de la ville et Pâques salle Gaveau pour un concert Via Crucis à l’occasion du Vendredi Saint.

Barbara Furtuna Avril 2015

Le 26 juin 2008, sortie du deuxième album de Barbara Furtuna : In Santa Pace

Une fois de plus, Barbara Furtuna fait merveille dans l’alternance de sacré/profane, traditionnels/créations, spirituel/romantisme. Ce disque est un must. Les fans du groupe qui pourront enfin disposer d’une version enregistrée du très mélodique chant dalmate, découvrir quelques versions instrumentalisées en finesse du plus bel effet, apprécier les talents d’écriture de Jean-Philippe Guissani notamment sur le titre L’innamurati, se laisser bercer par les voix de Maxime Merlandi et André Dominici qui excellent (aussi) dans le registre romantique (Veni O Bella et Lamentu chi ti cerca), se recueillir sur de très beaux chants à la vierge (Maria le sette spade et Tota pulchra es Maria) car comme le dit Maxime, qui chante prie deux fois. Quant au public découvrant la polyphonie corse, j’imagine qu’il ne peut être que séduit par tant de diversités dans le respect des traditions. C’est à mon sens, LE disque pour aborder la polyphonie corse.

Deux ans après le concert Via Crucis salle Gaveau à Paris, Barbara Furtuna apparaît sur l’album du même nom

Dans Via Crucis, Christina Pluhar et son ensemble l’Arpeggiata expriment la piété baroque chez les compositeurs italiens et dans les chants populaires napolitains et corses.
Avec Philippe Jaroussky, Nurial Rial et l’ensemble vocal corse Barbara Furtuna, la maestria autrichienne nous entraîne à sa suite sur un Chemin de croix exaltant.

Le 29 mars 2010, sort donc un livre disque composé d’un CD et d’un DVD bonus qui célèbre les 10 ans de l’Arpeggiata.
A la vue des extraits du DVD, il y a autant à voir qu’à entendre chez Christian Pluhar qui n’a pas peur de mêler musique baroque primitive, danse, voix de solistes classiques et voix de chanteurs insulaires. Philippe Jaroussky, que j’ai découvert il y a peu de temps, semble décidément s’imposer dans mes choix musicaux de 2010, quant à Barbara Furtuna, c’est je pense une chance pour eux d’être sublimés par un ensemble dont la renommée internationale n’est plus à faire. Merci chère Christina, de me permettre, grâce à vos choix audacieux, une initiation à la musique baroque tout en douceur, en complicité, avec un savant mélange d’humour et de sérieux.
C’est un disque qui se mérite puisqu’il m’a fallu le chercher au 4ème et dernier étage de la FNAC Ternes. Le plus bel écrin de l’ancien magasin Printemps pour une petite merveille.
Je n’aurais jamais pensé qu’un jour je puisse devenir fan de musique baroque. Bien sûr l’attrait pour Barbara Furtuna a été le moteur de l’achat mais au fond c’est un disque qui m’a procuré un sentiment de quasi béatitude de la première à la dernière note.
Est-ce à cause des voix divines de Nuria Rial et de Philippe Jaroussky ? Est-ce pour le cornet à bouquin qui, à lui seul, me fait aimer l’ensemble l’Arpeggiata ? Est-ce à cause du DVD bonus qui accompagne le disque où l’on ressent si intensément l’enthousiasme, le talent et la bienveillance de Christina Pluhar ? Est-ce pour ces jeunes corses, pourtant issus de la tradition orale, qui s’accordent avec tant de justesse à une thématique si codifiée ? C’est un tout je pense et sans aucun doute une consécration pour Barbara Furtuna. Avec ce disque, ils vont sans doute toucher des auditeurs étrangers à la polyphonie corse mais férus de musique baroque. Qu’on ne se méprenne pas, ce disque n’est pas le CD idéal pour découvrir la polyphonie corse. Dans cette hypothèse, il vaut mieux se reporter aux deux albums de Barbara Furtuna (voir ci-dessus). Pour les amateurs de polyphonies déjà avertis, c’est une nouvelle porte qui s’ouvre, un nouvel espace des possibles.

Extraits du livret

Sur Via Crucis, Barbara Furtuna interprète Maria, une composition basée sur le thème de La Carpinese, un chant de bergers de Carpino. Le texte évoque la douleur de la mère qui assiste aux souffrances de son enfant. Le chemin de croix du fils est en même temps le destin de la mère.
Le chant Suda Sangue, extrait du recueil Lira sacra, et Queste pungente spine, une cantata spirituale du compositeur, poète et théorbiste Benedetto Ferrari, dressent devant nos yeux l’image du supplicié dont la tête est ceinte d’une couronne d’épines. Dans ce morceau, Marie-Madeleine s’adresse à Jésus et lui parle non seulement de la douleur qu’elle ressent en voyant son corps meurtri, mais de l’amour qu’elle éprouve pour lui.
Le Stabat mater dolorosa de Giovanni Felice Sances sous-titré Pianto della Madonna date du XIIème siècle et est attribué au Franciscain italien Jacopone da Todi. Il a pour thème la douleur de Marie pendant la Crucifixion (texte en latin).
Enfin, le Lamentu di Ghjesu a été composé par Roccu Mambrini, Toni Casalonga et Nando Acquaviva, membres de l’Ensemble Tavagna, sur le thème baroque de la Folia
, un chant qui a une résonance très particulière pour moi.

Le livret est d’ailleurs magnifiquement illustré et documenté et il y a beaucoup à apprendre notamment sur les traditions de la semaine sainte en Corse (pp. 13 à 15).

Cette osmose entre partitions savantes et chants populaires accentue dans la ferveur de l’union le sentiment religieux. Dans cet album, Barbara Furtuna apporte une profondeur, une densité intimiste et une pudeur dramatique aussi bien dans les arias sobrement portées par les instruments de l’Arpenggiata (Maria) que dans les polyphonies a cappella. Le Lamentu di Ghjesu, composé par le trio Roccu Mambrini, Toni Casalonga et Nando Acquaviva, donne la chair de poule. La presse internationale n’a pas manqué de qualifier la prestation « aussi atypique que jubilatoire ».
(Musique baroque et polyphonie corse l’alchimie lumineuse de Via Crucis par JM Raffaelli, in Corse Matin du 13 avril 2010)

En mars 2012, Barbara Furtuna s’est produit au Carnegie Hall de New York avec l’ensemble baroque Arpeggiata.
J’adore tellement cet extrait de Corse Matin que je n’ai pas pu m’empêcher de le reproduire ici. Quel contraste entre le titre et l’image !

Barbara Furtuna au Carnegie Hall à NYC 2012

Barbara Furtuna devant le Carnegie Hall NYC

Le 11 juin 2013, sorti de Si vita Si

« Au grand jour. C’est ainsi que Barbara Furtuna nous apparait sur la couverture de ce troisième album.
De leurs pérégrinations sur les scènes insulaires et internationales, au gré de leurs rencontres et collaborations prestigieuses, les quatre garçons ont ramené de nouvelles envies et une ambition décuplée. De la polyphonie traditionnelle toujours, bien sûr. Oui, mais pas seulement. Barbara Furtuna ne s’interdit plus rien et accueille désormais de manière quasi permanente un cinquième larron en son sein : l’instrument. La rencontre est belle et foisonnante et le spectre balayé par les nombreuses créations est étonnant. C’est donc ça, « Si Vita si », rien moins qu’une volonté affichée d’embrasser passé et présent, racines et envol, en un même geste artistique, pour inventer le futur de la musique populaire corse. Savoir d’où l’on vient, savoir où l’on va et surtout comment on veut y aller : Barbara Furtuna est bien à l’image de son île (Frédérique Balbinot). »

Barbara Furtuna photo Christian Andreani

En octobre 2014, le groupe a été convié à Valence à enregistrer un titre sur le disque du ténor Placido Domingo Encanto del Mar.
Cette même année, ils s’investissent dans une création avec l’Ensemble Belem, composé de Didier Laloy (accordéon diatonique) et Kathy Adam (violoncelle), deux musiciens belges rencontrés au fil de leur pérégrinations.

Juin 2016

Le nouvel album du groupe D’Anima, est sorti le 10 juin 2016.

Barbara Furtuna, Show Case au Cosi, juin 2016

Barbara Furtuna, Show Case au Cosi, juin 2016

« Nous avons repris Lamentu Di U Castagnu, un chant écrit au début du XXème siècle que nous avons totalement revisité. Ce sont les lamentations d’un arbre qui s’adresse aux hommes, les trouve ingrats. Cela semble plus que jamais d’actualité. Mare Nostrum parle de ces réfugiés qui montent sur un bateau pour gagner l’Europe et finissent trop souvent noyés en Méditerranée, à qui on ne tend pas toujours la main. L’amour est aussi présent, l’amour de la terre, de notre pays. La Corse est toujours en toile de fond. Elle nous porte et nous inspire. »

Extrait d’un article Le second souffle du chant corse par O.B. dans l’Alsace du 22 mai 2016

« Barbara Furtuna sort aujourd’hui son quatrième album personnel intitulé D’anima qui témoigne du degré de maturité atteint, bien que l’ancrage originel de la formation soit le même. Sur la forme, l’enregistrement est le plus accompli de tous, il bénéficie des gros moyens logistiques déployés par le label Universal avec lequel la formation a récemment signé un contrat.

Un réalisateur haut de gamme, Christophe Voisin, un orchestre à cordes, d’excellents musiciens et un traitement acoustique de pointe qui restitue l’identité caractéristique de chacune des voix pour mieux transcender leur communion. […]

[…] Sur le contenu, D’anima , c’est onze titres, un seul a cappella (le bouleversant Miseremini Mei de Jean-Paul Poletti), neuf créations et deux reprises dont Le Lamentu di u Castagnu , lui aussi taillé sur du bois vocal traditionnel, poème musical profondément revisité par Barbara Furtuna d’Anto Battista Paoli de Tagliu-Isulacciu qui raconte les coupes sombres de châtaigniers au début du siècle pour alimenter les usines de tanin. Une tonalité plus audacieuse s’exprime pour Mare Nostrum , d’une douloureuse actualité puisque la chanson évoque les familles de migrants qui périssent par milliers en Méditerranée ou encore pour Ti dicerà , une ode à la vie.

Le résultat, c’est un album plus lumineux musicalement, qui porte l’empreinte du conseiller artistique Fabrice Andreani des Messageri, mais aussi plus résolument optimiste dans les textes dans la mesure où le message d’espoir affleure les récits les plus désespérés. Barbara Furtuna se laisse porter par cette brise qui souffle sur la Corse cet indicible espoir de tourner le dos au fatalisme pour se construire un avenir en misant plus sur ses valeurs que sur les autres. »

Extrait d’un article Barbara Furtuna la plénitude par J.-M. Raffaelli dans Corse Matin du 14 juin 2016

« Un disque lumineux, dans lequel la gravité (Maria, Mare nostum) n’exclut pas l’espérance (Ti dicerà, Quantu volte) ». Jean-Claude Casanova, L’invitu.

C’est un disque produit avec le confort et l’excellence que l’on attend d’une grosse maison de disque (Universal) : plusieurs mois de préparation avec le complice Fabrice Andreani, un ingénieur du son dédié au projet, un directeur artistique, plusieurs vidéo clips d’une grande qualité. Malgré ces paramètres, le groupe reste humble, plus que jamais engagé, perfectionniste notamment sur les quatre reprises, innovant sur l’interprétation des chants traditionnels et créatif sur les titres inédits, comme avec cet étonnant goutte à goutte (goccia à goccia).

A noter, 10 titres de l’album sont musicaux avec une orchestration qui magnifie les voix sans les masquer.
La version live (en concert) de cet album sera sans doute plus intimiste. Les chanteurs passent d’un registre à l’autre avec une déconcertante facilité même si l’on se doute bien que la qualité ne s’atteint qu’à force de travail et de remise en question.

Un disque engagé et porteur d’espoirs.

Février 2018. Nouvelle fraternité artistique pour Barbara Furtuna

En 2017, le groupe fêtait ses 15 ans d’existence. 15 années à sillonner la planète, à partager des moments de musique, de rencontre, d’émotion, d’écoute…
2018 débute sur un départ, celui de Jean Pierre Marchetti avec qui nous avons vécu tout cela. Nous tenons à le saluer et à lui souhaiter une bonne continuation pour ses projets. Bona strada à tè.
Le groupe accueille un nouveau membre : le chanteur et musicien Fabrice Andreani. Il participait déjà en coulisses à la vie artistique de Barbara Furtuna depuis plusieurs années. Il continuera néanmoins son activité avec le groupe I Messageri.
Les prochains voyages nous mèneront dans plusieurs régions de France, mais aussi en Espagne, Allemagne, Mexique, Suisse, Portugal, Belgique….
Mais tout d’abord, nos amis belges du duo Belem nous rejoindront pour 3 concerts au mois de mars en Corse : Bastia, Aiacciu et Purtivechju. Plus d’infos prochainement…
À prestu !

Barbara Furtuna, groupe en 2018

Crédit photos : Barbara Furtuna et Pierrick Guidou pour la photo du groupe en 2018

Note aux lecteurs : cet article est écrit par Carole Guelfucci, éditrice du blog racines-corses. Cet article est un article personnel sans lien avec la communication officielle du groupe Barbara Furtuna.
Lorsque vous écrivez un commentaire sur le groupe, sachez qu’il peut être lu par d’autres lecteurs qui trouvent l’article sur internet, en revanche, le groupe ne sera pas averti de votre commentaire.

Pour contacter le groupe, merci de le faire via leur site officiel : http://www.barbara-furtuna.fr/ ou via leur page Facebook.

5 réponses
  1. Francois
    Francois says:

    Voilà un groupe polyphonique corse digne de ce nom, pas d’artifice, voix naturelles, puissance et nuances, harmonies au diapason, des vrais pros, d’ailleurs, on ne s’y trompe pas après bientôt 30 ans de concert et toujours la même équipe, leur dernier cd, une pure merveille…

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  2. Rocchia
    Rocchia says:

    A Gaillac où est venu Barbara Furtuna le 24. Sept 2017, grand moment d’émotion, de rencontre avec des voix magnifiques et de belles âmes qui vivent dans leurs chants. Merci.

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  3. Jean-Marc
    Jean-Marc says:

    Magnifique concert de Barbara Furtuna ce soir en l’église de la Sauvetat dans le Puy-de-Dôme.
    Si l’occasion d’aller les voir en spectacle se présente, n’hésitez pas une seconde. Foncez-y pour un grand moment de bonheur chanté et musical!

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  4. Hélène
    Hélène says:

    Nous étions aussi à La Sauvetat, quelle joie de pouvoir écouter Barbara Furtuna dans le 63 ! leur dernier album est une petite merveille qu’on se passe en boucle… D’une grande qualité et d’une simplicité, ces 4 hommes nous livre une Corse intimiste et généreuse ! juste magnifique…

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  5. Mathilde BALDACCI
    Mathilde BALDACCI says:

    Chère Carole,
    Votre article est superbe, il me donne l’envie de découvrir ce groupe.
    Votre blog est plein de surprises à chaque fois. Merci.

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